Présenté par la Fédération Nationale des Arts de la Rue.
A l’occasion des élections présidentielles et législatives, la Fédération nationale des arts de la rue entre en campagne pour promouvoir les valeurs qu’elle s’attache à défendre depuis sa création, ainsi que la présence de la culture dans le débat public, car sans culture point d’humanité.
En savoir plusPublié par Culture & Démocratie.
Les Neuf essentiels recueillent dans un seul ouvrage des commentaires à des ouvrages servant d’introduction à une thématique. Ce numéro vise à approfondir les liens existants entre les communs et leurs pratiques et la notion de culture. L’introduction d’Irene Favero pose notamment la question du croisement (nécessaire !) entre la pratique du commun et les droits culturels.
En savoir plusAtelier de Codesign et Coconstruction des Communs Intergénérationnels du 19ème. Le mardi 21 novembre, Paris.
Un après-midi pour en savoir plus sur les communs et la formes qu’ils prennent dans le 19e arrondissement de Paris, notamment via la présentation du projet “Toit+moi” , Commun Intergénérationnel de mise en relation entre Seniors et Erasmus. En savoir plus
Article de Louise Merzeau à paraître dans le Dictionnaire des biens communs. M. Cornu, F. Orsi, J. Rochfeld, Dictionnaire des biens communs, PUF, 2017.
“L’envisager [la mémoire] dans la perspective des communs revient à prendre le parti inverse en considérant que l’activité mémorielle peut relever d’une aptitude de la communauté à administrer horizontalement ses ressources comme ses règles de gouvernance. En savoir plus
« Commun des savoirs et bibliothèques », ouvrage sous la direction de Lionel Dujol.
Nous parlons de commun de la connaissance dès lors qu’il y a une activité collective et horizontale pour créer, maintenir et offrir des savoirs en partage. Des territoires et des bibliothèques ont activement décidé de jouer un rôle important dans la promotion, la protection et le développement des communs du savoir. En savoir plus
Les comptes rendus des interventions de ce cycle organisé par l’AFD sont en ligne.
Dans le cadre de son chantier de réflexion sur “Communs et développement”, l’AFD a organisé un cycle de rencontres avec des chercheurs, institutionnels et consultants apportant chacun des éléments de lecture et de compréhension autour de la question des communs. Par cette approche multidisciplinaire et multi-thématique, seule en mesure d’appréhender la diversité des Communs, l’AFD entend construire une vision renouvelée des politiques de développement et plus particulièrement de ses stratégies et pratiques opérationnelles. Contributions, entre autres, de Michel Bawens, David Bollier, Benjamin Coriat et Pierre Dardot.
Un projet de Salvatore Iaconesi, artiste, haker et designer de l’interaction italien.
Lorsque l’artiste Salvatore Iaconesi est diagnostiqué avec une tumeur au cerveau, il refuse d’être un patient passif — patient, qui, comme il l’explique, signifie « celui qui attend ». Il décide donc de hacker les scans de son cerveau et de les poster en ligne, et il invite la communauté mondiale à élaborer une « cure ». Celle-ci a pris forme grâce à plus d’un demi-million de personnes : conseils médicaux, art, musique et soutien émotionnel. Quand la santé d’une personne devient l’enjeu d’une communauté mondiale autour d’un projet open source… Dans la vidéo ci-dessous, Salvatore Iaconesi présente La cura.
Manifeste initié par le European Cultural Foundation.
Ce manifeste, auquel chacun est appelé à contribuer, présente 23 pratiques qui développent des formes innovantes de partenariats entre les pouvoirs publics et la société civile en milieu urbain au niveau européen. Ces initiatives visent à proposer des solutions concrètes aux défis actuels posés par la gouvernance/gouvernement de la ville. Ces pratiques pourront être source d’inspiration pour les institutions européennes, les états membres et les villes européennes, et contribuent aux travaux autour de l’Agenda Urbain Européen.
Le 18 novembre dernier nous étions à Marseille pour une balade autour de l’oppidum de Verduron dans le quartier de l’Estaque.
Cette balade était organisée par les membres d’ Hôtel du Nord, une coopérative d’habitants qui développe un ensemble d’activités dans le but de préserver et valoriser ce qui fait récit commun dans les quartiers nord et plus largement dans Marseille et la région. Cette balade s’inscrit dans le “triptyque” des balades menées à Paris, Marseille et Lille par Remix the commons en collaboration avec la Fondation de l’écologie politique. En s’appuyant sur le Convention de Faro, les membres de la coopérative et leurs partenaires œuvrent pour une protection du patrimoine archéologique de l’oppidum et pour valoriser les récits des habitants liés aux quartiers nord de Marseille. Les sons de la balade peuvent être écoutés ci-dessous.
Une introduction aux communs de la connaissance dans le dernier ouvrage d’Hervé Le Crosnier. Publié chez C&F Éditions.
Les connaissances sont des ressources sensibles : leur partage permet de réaliser la paix et les autres droits fondamentaux. Au contraire, leur transformation en biens économiques privés dans une « économie de la connaissance » est source d’exclusion, de restriction des savoirs et de limitation de leur circulation.
Une longue tradition d’étude des communs matériels souligne le rôle des communautés pour la gestion de ressources finies impliquant un usage dit rival. Le numérique introduit quant à lui une opportunité nouvelle par son caractère additif et multipliable. Sensibiliser et assurer la gestion et le partage des connaissances, alerter des risques et méthodes d’enclosure, définir le faisceau de droits adapté, ouvrent de nouvelles perspectives portées par de nombreux mouvements issus des transformations numériques de la société (logiciels libres, creative commons, accès libre aux publications scientifiques, etc.).
Dans ce recueil de ses articles publiés au cours de ces dernières années, Hervé Le Crosnier trace les contours d’une approche ouverte et coopérative des savoirs.
Le n° 39 du Journal de Culture & Démocratie vient de paraître.
Le dossier du Journal 39 de Culture & Démocratie creuse la question du marché et questionne sa compatibilité avec les valeurs fondamentales de la démocratie.
La culture, les arts mais aussi l’école doivent aujourd’hui composer avec les logiques de l’absolutisme économique. Les auteurs de ce présent dossier analysent, décryptent et dénoncent avec force l’hégémonie néolibérale contemporaine et ses inégalités.
Au-delà de la critique, pourtant, surgissent des alternatives qui « donnent à penser que l’impasse peut être vaincue et que des forces nouvelles, autres, peuvent dessiner pour nos sociétés un avenir plus équitable et plus fraternel ».
La conférence annuelle de Culture Action Europe se tiendra du 15 au 17 octobre à Göteborg en Suède.
Elle sera l’occasion pour refléchir ensemble aux équilibres à trouver entre la réalisation d’une sphère publique riche de sens et les intérêts privés et commerciaux. Cela, afin de garantir le respect des droits culturels de chacun, une juste rémunération pour les personnes impliquées dans les processus de création et afin de permettre la réalisation du droit de chacun à participer à la gouvernance de ses communautés, au niveau local ainsi que plus largement.
Le retour du festival francophone auto-organisé et distribué autour des biens communs. Il se tiendra du 5 au 18 octobre 2015, dans toute la francophonie.
Forts de la réussite de la dernière édition de « Villes en Biens Communs » à l’automne 2013, les acteurs engagés dans des démarches autour des biens communs ont imaginé pour 2015 un événement encore plus ambitieux, dans l’idée de toujours mieux populariser les communs comme levier majeur de la transition vers un monde durable. Chaque ville, chaque territoire, chaque collectif local désireux d’être partie prenante de ce nouveau « temps des communs » peut inscrire librement des évènements dans le programme de la quinzaine. Toutes ces actions sont auto-gérées et organisées de manière décentralisées. Un temps fort du festival est prévu pour le samedi 10 octobre.
Les cahiers du commun #2.
“Le travail du commun implique un processus de capacitation, à savoir une montée collective en capacité. C’est donc sur ce plan spécifique qu’il me semble nécessaire de poser la question de l’empowerment. Travail du commun et empowerment sont deux processus qui se développent en dépendance réciproque, l’une se posant nécessairement comme le présupposé de l’autre, et toujours réciproquement. Quelle serait la pertinence d’un travail du commun s’il n’apportait pas au collectif des perspectives d’action et de pensée plus ambitieuses et plus stimulantes ?” Pascal Nicolas-Le Strat
Association indépendante créée en 2009, Réseau culture 21 inscrit ses travaux dans la promotion de la diversité et des droits culturels dans l’ensemble des politiques publiques en s’appuyant sur l’Agenda 21 de la culture et la Déclaration de Fribourg.
Réseau culture 21
Christelle Blouët, coordinatrice : christelleblouet(at)reseauculture21.fr